Le poids de nos rencontres
Le livre commence sur une vie qui devrait finir (une diapo de suicide…) et finit par une vie qui devrait commencer (l’espérance d’une renaissance).
Le livre de 150 pages subdivisées en 5 parties inégales se referme sur un épilogue sans avoir été ouvert par quelque prologue que ce soit. C’est audacieux et en création ça paie.
Un livre audacieux où Demba Diop fait du striptease en se racontant avec franchise, mais aussi avec la prouesse de faire subtilement la synthèse des religions, celle des environnements spatiaux, celle des classes sociales, celle des ascendances de substitution.
Pouvoirs-Magazine