Malgré les défis, de nombreuses femmes noires journalistes ont réussi à exceller dans leur domaine, contribuant à une couverture médiatique plus diversifiée et inclusive. Les efforts pour promouvoir la diversité et l’équité dans les salles de rédaction, ainsi que la sensibilisation continue aux défis auxquels sont confrontés les journalistes de couleur, sont essentiels pour créer un environnement professionnel plus égalitaire et inclusif. Rachel Linord est journaliste de couleur aux Etats-Unis.
« Racines héritage » créé en 2003 pour tisser le pont entre les Amériques et l’Afrique, a finalement permis de travailler et déboucher sur « Mildov » une autre Ong qui signifie mille colombes et qui s’occupe des personnes âgés, des enfants autistes…Bref de l’éducation en général. Son intérêt pour les personnes âgés date de son enfance et Linord a toujours voulu d’un métier international.
Femme noire et francophone, son professeur lui conseille la presse écrite parce que personne ne lui faire confiance.
Ce qui passe aux Etats-Unis, est le reflet des complexités de ce peuple.
Les femmes noires peuvent être confrontées à des stéréotypes et à des préjugés liés à leur race et à leur genre. Cela peut se traduire par des traitements injustes, des opportunités professionnelles limitées et des défis dans l’avancement de leur carrière.
Rachel Linord estime que le manque de représentation est criard. Il peut y avoir un manque de diversité dans les salles de rédaction et dans les postes de direction des médias. Le manque de représentation peut entraîner une sous-représentation des perspectives et des expériences des femmes noires dans les médias.
Les journalistes, en particulier les femmes et les personnes de couleur, peuvent faire face à des attaques en ligne et hors ligne, y compris des commentaires haineux, des menaces et du harcèlement. Cela peut avoir un impact sur leur bien-être mental et émotionnel.
Linord se garde de juger les presses qui priorisent les stars et les non anonymes comme animateurs.
POUVOIRS MAGAZINE