Depuis ses années collèges à Dimbokro et universitaires à Paris, Adama Bictogo a toujours aimé la musique et le Jazz.
C’est pourquoi quand il a entendu parler du festival international de jazz et des cultures africaines, il n’a pas hésité à donner toute sa caution à l’équipe organisationnelle. Cette dernière composée de la plateforme “Menekre Jazz Network” dont le guitariste Constant Boty est le Président, Serge Ahouassa (Polo Santa) le vice-président, Darlène Kilian, la secrétaire avec à sa tête l’attaché culturel de l’ambassade des Etats-Unis Rubani et Guy Koffi ont formé la délégation qui a été reçue en audience par le Président de l’Assemblée nationale ivoirienne.
Adama Bictogo a saisi le festival comme un outil puissant d’échange communautaire et de rapprochement des cultures et des peuples.
Ce rapprochement des peuples ivoirien et américain implique que la sécurité internationale et l’inclusion sociale ne peuvent être réalisées durablement sans un engagement envers les principes fondamentaux de dignité humaine, de convivialité et de solidarité qui constituent les pierres angulaires de l’existence humaine et qui sont facilités par l’art et le jazz. Dans ce monde globalisant, l’actuelle résurgence de conflits et d’actes de violence et d’intolérance dans le monde requiert une réaction.
Et le jazz est une réaction. Réaction urgente avec la venue ici de Kevin Eubanks au mois d’avril prochain
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