De feinte en feinte, Valérie Datro, finira pas être entendue au pôle économique et financier. De quoi est-elle accusée ?
Faux en écriture. On l’entendra pour faux en écriture. Depuis quelques jours, comparaissent au Pôle financier, ces acteurs majeurs de ce feuilleton footballistique. Né Marco, Président d’Abidjan City football club est passé pour offrir sa version des faits.
C’est maintenant au tour de la mère qui est introuvable, injoignable.
Renseignant pris, elle serait au Maroc, quand d’autres lui assignent d’autres destinations. Une chose est sûre, sa domiciliation n’est pas fixe .
Après elle ou plus tard on entendra Sam Tiassé, le préfet hors hiérarchie, membre de la Fif à l’époque des faits.
On entendra aussi Yves Sawadogo. C’est le conseiller de la mère Valérie Datro qui avait été déçu des dirigeants d’Abidjan City. « Ils ne connaissent pas le foot ». avait-il dit d’eux.
ON ENTENDRA VALERIE DATRO POUR FAUX EN ECRITURE
Mme Djoman chargée des délivrances de transferts devra expliquer comment le Certificat international des transferts (Cit) a pu être accordé à Datro Fofana. Un joueur alors sous contrat avec Abidjan City football Club (Acfc) qui a réussi à partir à Molde en Norvège pourtant.
Ce n’est pas tout. Parallèlement, il faut savoir que le Tribunal fédéral Suisse a accepté d’entrer en matière sur le recours.
Cela signifie que le Tribunal fédéral suisse invite le Tribunal arbitral du sport à reconsidérer sur son verdict antérieur. N’aurait-il pas dit le droit?
Toute chose qui est déjà une victoire pour le club ivoirien.
C’est la première fois dans l’histoire de foot africain, qu’un club d’Afrique, qui plus est de D3 tente un recours contre le Tas.
C’est également la première fois qu’on invite le Tas (la Cpi du sport) à revenir sur une décision. 95% des cas en effet, il n’en est point question.
DESIRE THEA
PHOTO/ DR
POUVOIRS MAGAZINE
