Un incendie éclate au milieu des cadavres.

2 semaines

Le cimetière du village de Ouéréguékaha, situé dans la sous-préfecture de Niakara va mal.

Cet incendie s’est déclaré le samedi 1er février 2025. Obligeant les pompiers civils du Centre de protection civile à intervenir.
On a appelé les pompiers civils du CPC du Hambol, basés à Katiola, en urgence pour maîtriser un immense feu.
Le feu, d’origine encore inconnue, a pris dans le cimetière du village, situé à environ 26 kilomètres au sud de Niakara.

Les flammes ont été particulièrement menaçantes, se propageant rapidement à cause de la sécheresse qui sévissait dans la région.
Le feu pouvait avoir été causé par un fumeur imprudent, sous un soleil de plomb.Lors de l’arrivée des pompiers civils, le feu avait déjà dévasté la végétation dense du cimetière et plusieurs arbres.

Les soldats du feu ont utilisé une lance à eau pour combattre le feu, avec détermination et efficacité, pour éteindre les flammes.

L’intervention rapide des pompiers a permis de limiter les dégâts, mais de nombreuses plantes et arbres ont été gravement endommagés.

En plus d’éteindre l’incendie, les pompiers ont saisi cette occasion pour sensibiliser la population locale sur les dangers du feu.
Ils ont insisté sur l’importance de prévenir toute propagation future. En insistant sur la nécessité de signaler rapidement les départs de feu.
Les habitants de Ouéréguékaha ont été appelés à redoubler de vigilance. Notamment pendant la période de forte sécheresse.

Les pompiers ont rappelé que les feux de brousse sont souvent imprévisibles. Et peuvent causer des destructions massives en un instant.
La situation rappelle aux communautés de cette région qu’il est essentiel de respecter des mesures de prévention pour éviter ces incendies.
L’incident du cimetière de Ouéréguékaha a ainsi souligné la nécessité d’une vigilance accrue. Face aux risques naturels en période de sécheresse.
Dans l’avenir, les habitants de ce village devront être encore plus vigilants. Afin de protéger leur environnement et leur patrimoine.

ETHAN GNOGBO

photo:dr

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