Selon le chef d’Etat camerounais, l’Afrique reste trop dépendante de l’aide publique internationale.
Elle a besoin d’un volume important à long terme et mérite d’avoir le même accès aux sources de financement que toutes les régions du monde, dans un environnement global marqué par des soubresauts sécuritaires et sanitaires. Le dirigeant camerounais a pointé les importantes restrictions appliquées à la souveraineté des devises africaines comme principal frein à l’investissement sur le continent. Paul Biya a fait sa sortie lors de la table ronde privée « Milken Institute – Invest Africa US » organisée à Washington, aux États-Unis.
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