Les 18 et 19 novembre dernier, en Tunisie à Djerba, les pairs de Louise Mushikiwabo lui ont renouvelé leur confiance pour 4 années supplémentaires.
Si la secrétaire générale de l’Oif tient à faire de l’organisation un instrument proche des citoyens, elle n’invente rien car c’est exactement ce qu’avait promis celle qui l’a précédée, à savoir la canadienne Michaelle Jean. Mais Mushikiwabo lui avait été préférée pour des raisons politiques essentiellement.
Paul Kagamé président depuis 22 ans du Rwanda, avait commencé en effet, à tourner le dos à la Francophonie, en lui préférant ouvertement le Commonwealth qu’il a intégrant. Toute chose qui lui réussit car le Rwanda s’en porte mieux et va même jusqu’à faire des émules. Le Gabon lui emboite le pas.
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La réélection sans lutte (elle était candidate unique) aucune de la secrétaire peut s’expliquer par le fait que la France est comme une ombre.
Quand tu l’as suit, elle te fuit et ne t’accorde aucun intérêt, quand tu l’as fui en revanche, elle te poursuit et te convoite. La France ne respecte que ceux qui lui tiennent tête.
On déroule le tapis à Mushikiwabo qui reste compétente, pour garder les liens avec le Rwanda.
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