Aucune des deux recettes ne marche.
Ni celle du journaliste qui rappelle les origines sénégalaises de Thiam comme entrave à sa candidature. Un débat loin derrière.
Ni celle de l’interviewé qui explique lui que le père de Tidiane Thiam n’a jamais été Sénégalais, qu’il était français mais naturalisé ivoirien en 1962. Installant ainsi Tidiane dans la posture d’opprimé, nous vendant par la suite du Houphouët-Boigny.
Tidiane Thiam doit proposer son programme, sa vision, son équipe, aussi bien la volonté que le bon vouloir de son équipe de diriger. Au peuple d’adhérer ou non. Les spéculations ont déjà couté chères. Très chères à cette nation ivoirienne. Il faut changer de recettes.
Pouvoirs-Magazine