Depuis trois décennies, loin du confort offert par les certitudes, il s’est inscrit dans la transmission comme un ethnologue, en s’intéressant aux populations et interrogations lointaines.
Que ce soit pour nous inviter à percevoir, au cœur d’une foule, la place de la solitude, la présence de l’absence; ou que ce soit au départ pour améliorer notre perception sur l’homme devenu un problème l’homme, c’est à dire le malade mental.
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Ou que ce soit ensuite pour faire comprendre à tous que même l’insoupçonné néophyte peut devenir photographe, pourvu qu’il compte moins sur l’appareil photo que sur l’acuité de son regard.
Aussi » Le regard comme outil du photographe » est-il le thème de la Master class, en marge d’une expo que l’enseignant-artiste basé à Abidjan initiera à Niamey, à l’Institut français qui porte le nom d’un autre collègue réalisateur-ethnologue amoureux d’Afrique, du Niger, Jean Rouch. Ce sont les 26 et 27 janvier prochain, le lendemain du vernissage
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