Deux ateliers importants. Le premier est une réflexion sur comment préserver le patrimoine cinématographique africain qui se trouve en danger. Le deuxième est relatif aux difficultés de distribution des productions africaines et arabes.
Trois grands prix seront décernés dans les quatre principales sections du Festival (Longs et courts métrages, documentaires courts et longs) : les Tanit d’or, d’argent et de bronze. Concernant le jury des longs métrages et des courts, il est présidé par le réalisateur marocain Mohammed Abderrahman Tazi.
Pour les documentaires, le jury sera présidé par la productrice malgache, Marie-Clémence Andiamonta Paes. Le jury et aussi le public verront au total, 170 films proposés depuis le 29 octobre jusqu’au 5 novembre dans 22 salles de cinéma de Tunis et d’autres villes, à raison de 60 séances par jour dans le cadre des JCC (Journées cinématographiques de Carthage), le doyen des festivals africains, créé en 1966, devenu annuel en 2014.
Ainsi sera rythmée cette 33e édition du Festival de cinéma de Carthage.
Pouvoirs Magazine