Beaucoup de choses se sont passées ce week-end au “Menekre legend” réputé pour proposer régulièrement des spectacles de qualité au public. 23H du Jazz. Les solos de guitares troubadour de Boty qui y a posé ses valises donnent le ton grâce au soutien de son orchestre Guru Guru composé de visages bien connus du milieu: Jean Ebo au Keyboard, Israel Boka à la batterie.
Le groupe enchaine quelques classiques de Jazz, échauffe de la sorte, la salle enrichie de quelques humoristes maison du Dycoco, de l’ambassade des Etats-Unis partenaire de la rencontre, représentée par quelques agents. De plusieurs journalistes dont BBC, Bléziri Camille ivre de bonheur qui immortalisé cet instant, Valerie Bony de British Broadcasting Corporation (BBC). Cette dernière happée de façon irrésistible exécutera des pas généreux sur la musique cubaine proposée par Soul Ayom.
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L’homme sait chanter latino et la salle aime. Mais elle n’aura encore rien vu, ni écouté. Soul tourne le dos au public, écarte les bras tel un crucifix et guide l’orchestre. Celui-ci lui obéit au geste. Ensemble il installe l’introduction d’un chef d’œuvre de soul, slow, blues à la fois écrit par Betty Jean Newsome, parolière, chanteuse, choriste, danseuse et américaine et rendu célèbre par James Brown. Mais la version De Soul Ayom de ‘It’s a Man’s Man’s Man’s World’ , titre vieux de 56 ans est de tout âge. Il est de 2022.
Soul Ayom et son orchestre, joue avec le public qui communie, s’essaie aux chœurs. L’instant de Soul est beau et fait grand bien. S’ensuivent d’autres classiques tels que “My Girl” de Otis Redding. John Yalley ne résiste pas et félicite son collègue. La soirée peut s’achever.
Serge le gérant de l’espace l’étire qui a près le concert passe des vidéo de Sting, Soul II Soul et bien d’autres gros artistes en concert géant, sur un écran géant, avec une sono géante. Peut-on mieux fabriquer une satisfaction “géante”?
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