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L’Union Africaine (UA) : sécurité et protection socioéconomique des familles, au cœur des débats au Parlement.

La 3ème session ordinaire du sixième Parlement, tenu ce 27 juin 2024, livre ses objectifs dans un communiqué plein d’espoir.

L’UA a organisé un séminaire autour du thème général « Éduquer un Africain apte au 21ème siècle ».

Dans un communiqué qui donne d’espérer des lendemains meilleurs pour les familles africaines, ce séminaire a permis une chose. C’est de renouveler les espérances de nombreux citoyens africains.

Ledit communiqué a sanctionné les travaux de l’ouverture du séminaire ce 27 juin 2024. Il a notamment souligné la nécessaire stratégie de systèmes de protection sociale solide pour les familles. En particulier face à la pauvreté, au deuil, au handicap, au changement climatique, aux guerres et à d’autres crises.

Les principaux points abordés, ont indiqué la nécessité de mettre en place des politiques qui garantissent la protection socioéconomique des familles. En veillant à ce qu’elles soient équipées pour faire face aux crises sociopolitiques répétitives.

Il a également été souligné que l’éducation commence au sein de la cellule familiale et s’étend à la salle de classe. Notant particulièrement le rôle de la famille dans la réussite scolaire.

Toujours selon le communiqué du séminaire, les questions actuelles qui affectent le citoyen africain sont difficiles à résorber. On peut citer la formation de la famille et l’impact de la technologie, entre autres.

Les recommandations qui en ont découlées sont entre autres, l’application d’une perspective familiale à tous les secteurs. Toute chose qui pourrait rendre effective, l’impact des politiques sur les familles. Ce qui devrait être pris en compte dans tous les domaines de gouvernance. Ont pris par à ce séminaire le professeur Zitha Mokomane de l’Université de Pretoria. M. Lefhoko Kesamang, responsable principal de la protection sociale à la Commission de l’Union africaine. Et surtout une compatriote. L’Ivoirienne au milieu de parterres africains, Mariam Dao Gabala. On n’est jamais prophète chez soi. 

 

photo: dr

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