Cocody. La propriété, nichée sur la route du Lycée Technique dans le quartier central de la capitale, est un véritable havre de paix.
Havre bordé d’une haie de bambous, de bois brut. Dès que vous franchissez l’accès principal par un majestueux escalier de pierre, vous êtes transporté dans un coin de verdure enchanteur. Un pur et limpide bassin d’eau douce agrémente l’endroit.
Au cœur de cette fontaine, une dalle de pierre conduit à une lourde porte coulissante menant au hall d’entrée. Et que dire de l’entrée ! Derrière les comptoirs, de jeunes filles vous accueillent. C’est une ambiance des senteurs boisées et un sentiment immersif de nature grâce aux tons marron et verts qui dominent la décoration.
Bienvenue à l’Hôtel Particulier, un lieu de villégiature de 7 000 m² qui porte parfaitement son nom. Épuré et raffiné, il tranche radicalement avec le béton et le goudron du Vieux-Cocody. Du coup, c’est une oasis de tranquillité au cœur de la ville. Une sorte de reconnexion à la nature.
À l’extérieur, plusieurs terrasses entourent la piscine, nichée dans une végétation luxuriante. Manguiers, goyaviers, frangipaniers, et fleurs de jasmin créent un cadre idyllique. Une terrasse spécial lecture, tandis qu’une autre fait office de bar convivial.
L’hôtel de 16 chambres dont 8 suites avec vue sur le jardin est ouvert sur la nature.
On a décoré chacune des chambres avec soin. Couleurs vibrantes, photos et œuvres d’art, têtes de lit en mosaïque, carrelage élégant dans les salles de bains.
On passe ainsi de Gorée à Marrakech, Douala, Ouagadougou, Accra, Le Cap ou Kinshasa. L’établissement abrite également une boutique de parfums d’intérieur et un concept-store de produits artisanaux. Toute chose qui ajoute une touche finale à cette expérience sensorielle inoubliable.
La nuitée pour la chambre est à 90 mille francs et la suite coûte le double.
SOPHIE BLE
photo: dr
POUVOIRS MAGAZINE
