À l’occasion de ce 1er juin 2025, Marilyn Monroe aurait eu 99 ans, mais son héritage beauté reste totalement vivant. Voici 9 secrets
Elle refusait catégoriquement les bains de soleil, convaincue que sa blondeur devait rayonner sur toute sa peau, sans exception.
Marilyn Monroe allait à contre-courant de la mode californienne du bronzage, affirmant qu’elle aimait se sentir « blonde partout », jusqu’au bout des épaules.
À une époque où le hâle doré faisait fureur, elle assumait son teint diaphane comme un choix esthétique fort, presque revendicatif.
Elle exigeait une nuance très précise pour ses cheveux : un blond pâle qu’elle appelait affectueusement “blanc d’oreiller”.
Pour conserver cette teinte parfaite, elle se rendait toutes les trois semaines chez ses coloristes attitrés, Pearl Porterfield et Kenneth Battelle.
Peu adepte des shampoings fréquents qui dégradaient la couleur, elle utilisait un shampoing sec fait maison un jour sur deux.
Son astuce maquillage pour des lèvres pulpeuses ? Une superposition méticuleuse de rouges dans des tons subtilement dégradés.
Son maquilleur appliquait jusqu’à cinq teintes de rouge à lèvres : foncées aux contours, claires au centre pour créer du relief.
Ce jeu d’ombres et de lumière donnait à sa bouche cet aspect plein, sensuel et absolument irrésistible devenu sa signature.
Elle vouait un véritable culte au sommeil et ne lésinait jamais sur ses heures de repos.
Surtout les dimanches matin.
Marilyn pouvait dormir dix heures d’affilée, dans un grand lit simple, et aimait prolonger ses réveils en flânant doucement au lit.
“C’est mon jour de loisir total”, confiait-elle, savourant ces moments de calme comme un soin aussi vital que son maquillage.
La nuit, elle ne portait rien d’autre que quelques gouttes de Chanel N°5, son parfum fétiche devenu aussi célèbre qu’elle.
Elle disait que les vêtements de nuit gênaient son sommeil, préférant se coucher nue, parée uniquement de son parfum préféré.
Elle en mettait aussi dans son bain glacé : un geste intime et élégant, devenu une légende à lui seul.
Bien avant les tendances bien-être modernes, elle pratiquait les bains glacés pour raffermir sa peau et stimuler la circulation.
Aujourd’hui très populaires auprès des sportifs ou adeptes du “wellness”, Marilyn en comprenait déjà tous les bienfaits à l’époque.
Cette habitude l’aidait à garder un teint frais et une peau tendue, presque liftée naturellement, sans artifices visibles.
Elle suivait une routine de soins du visage pointue, élaborée par le célèbre dermatologue Erno Laszlo.
Marilyn nettoyait son visage jusqu’à cinq fois par jour pour éviter les imperfections, mais toujours avec des produits soigneusement choisis.
Sa routine nocturne comprenait une huile nettoyante, une crème nourrissante, puis une lotion apaisante, encore vendues aujourd’hui.
Pour briller à l’écran, elle appliquait de la vaseline sous son fond de teint, créant un effet de peau lumineuse unique.
Elle utilisait également de la cold cream Pond’s, la crème Eight Hour d’Elizabeth Arden et même de l’huile d’olive naturelle.
Ces produits, encore en usage, montrent que son rapport à la beauté alliait luxe, intuition, tradition et efficacité accessible.
Elle n’aimait pas le sport, mais pratiquait chaque matin une routine douce de renforcement musculaire, sans quitter son lit.
Marilyn levait deux petits haltères au-dessus de sa tête depuis son matelas, enchaînant des séries régulières mais non contraignantes.
Elle ne cherchait pas à sculpter son corps, mais à le maintenir tonique avec une méthode douce, adaptée à son rythme.
SOPHIE BLE
photo:dr
POUVOIRS MAGAZINE
