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Ouassenan, ses célébrations instruiront sur la profondeur de nos désaccords

Inévitable. C’était une étape inévitable du cycle naturel de la vie de Gaston Ouassenan Koné mort hier et qui a  bien vécu une grande partie de sa vie et son départ doit être perçue comme une conclusion naturelle de sa belle existence.

Le ministre détenait une richesse d’expériences et de connaissances accumulées tout au long de leur vie. de sportif (arts martiaux), de politique, d’artistes ( il était écrivain); malheureusement pas suffisamment connue et transmise. Sa mort aurait due être perçue comme une transition de ces connaissances à la génération suivante.. Ce n’est pas le cas. Avec la jeune génération qui en arrive à leur en vouloir, lui et ses promotionnaires.

Ouassenan se rapproche d’un état spirituel supérieur .

Cependant, la façon dont la société traitera le départ de Ouassenan, organisera ses obsèques, gèrera sa mort reflétera ses valeurs et son développement. Si les Ivoiriens n’accordent aucun respect à cet homme de devoir, cela témoignera d’une culture de négligence ou de compassion ses selons et d’appréciation de la vie à toutes les étapes.

Avec son départ les Ivoiriens ont l’occasion de célébrer la vie : La mort de Ouassenan peut également être une occasion de célébrer sa vie pleine, ses accomplissements et les souvenirs qu’il a créé au sein de la gendarmerie, chez les pratiquants de Taekwondo, chez les habitants de Katiola, au sein de la communauté Tagbana, au milieu des militants du Pdci . Les funérailles et les rituels commémoratifs de Ouassenan doivent être l’occasion pour les proches de se réunir pour rendre hommage.

Au niveau du Pdci, ce parti tient une opportunité de célébration avec Bédié, de deux grands hommes unis par le destin et l’occasion pour les plus jeunes d’accorder moins d’intérêt aux désaccords, aux mésententes, à la détestation; à la haine si telles est finalement l’issue de notre existence pendant laquelle la majorité des Ivoiriens désormais accordent peu de soin aux vertus et à la concorde.

Les Ivoiriens doivent mener une Réflexion sur la mortalité et comprendre à ceux qui restent la fragilité de la vie humaine.

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