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Une enquête conduite par un média russe dénommé Proekt révèle que le dirigeant risse Vladimir Poutine est toujours accompagné par Evgueni Selivanov, chirurgien à l’hôpital central de Moscou parce qu’il souffrirait d’un cancer de la thyroïde,

Depuis le début de la guerre en Ukraine, la santé du président russe est scrutée alors que ce dernier souffrirait également d’un début de Parkinson. La semaine dernière, des documents du Pentagone ayant fuité ont indiqué que Poutine suivait une chimiothérapie. Le chef d’Etat russe boitille effectivement. En outre, une cicatrice suspecte a été aperçue sur le cou de Vladimir Poutine lors de sa dernière apparition publique.

“Depuis un certain temps, dès qu’il s’assoit sur un canapé pour mener des pourparlers avec quelqu’un, il bouge tout le temps les pieds. Le reste du corps reste stable mais ce pied qui bat démontre qu’à l’intérieur, il est très nerveux”, constate Sergueï Jirnov? ancien officier supérieur du service d’espionnage du KGB et auteur du livre “L’éclaireur”. “Récemment, on s’est aussi aperçus qu’à chaque fois qu’il est assis à une table, il s’y accroche. Lors de sa rencontre avec le chef des armées le 21 avril dernier, ses mains devenaient quasiment blanches tellement il se cramponnait à la table

De plus, Vladimir Poutine du haut de ses 69 ans, “a déjà dépassé l’âge moyen de mortalité des hommes russes fixé entre 65 et 67 ans”, rappelle Sergueï Jirnov. “Même s’il est au sommet de l’Etat, il reste un homme âgé. D’un autre côté, s’il s’avère qu’il est malade, tout dépend du genre de cancer qu’il a, certains se soignent ou s’accompagnent. Ce n’est pas parce qu’il aurait une maladie qu’il mourrait prochainement“, explique l’expert.

Une stratégie pour éviter le coup d’État ?

“Il n’est pas exclu que ces rumeurs de maladie soient une façon pour Poutine de manipuler son entourage. Son objectif pourrait être de dissuader les gens du Kremlin d’organiser un coup d’État”, prévient l’ex-agent

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