La production nationale annuelle d’oignon est évaluée à 8000 tonnes au maximum.
C’est insuffisant et le pays importe aussi bien du Niger que du Burkina Faso, et même d’Egypte certaines fois, 100 mille tonnes. Pour stopper cette importation excessive, un projet pour améliorer la productivité de l’oignon est mis en place. Il consiste à identifier les meilleures variétés et à optimiser les pratiques culturales en pépinière au nord et au centre du pays.
Un peu plus de 200 femmes originaires de Sinématiali, Tioro et Tengrela se sont regroupées au sein du Korea-Africa food an agriculture coopération initiative (Kafaci).
Le projet de la coopération est financée par la Corée de Sud et exécuté par l’Unité pédagogique de recherche de l’Université Peleforo Gon Coulibaly de Korhogo.
La filière oignon ivoirienne apparaît comme un secteur avec un fort potentiel inexploité et un levier de développement économique te social important. Les revenus des producteurs peuvent être améliorés afin de limiter l’inflation sur les prix à la consommation. Le projet s’inscrit dans le cadre de l’autosuffisance en oignon
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