Trois bâches sont tombées à Yamoussoukro dans la ville qui l’a vu naître le 28 décembre 1936, car le vent a soufflé fort à N’Zuessi au 220 logements la nuit de la veillée traditionnelle de Charles Nokan.
« Violent était donc le vent » pour faire écho à son ouvrage publié en 1966 à « Présence africaine ».
Le lendemain samedi 4 février, l’inhumation a eu lieu vers 18h juste après la cérémonie de remise don de 7h à 17h.
Repose en paix Charles Nokan, l’Ouragan qui aura espéré un grand changement pour son pays.
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