11,4%. Un niveau historiquement faible dont le président Kaïs Saïed a minimisé l’importance dans une vidéo diffusée lundi soir.
C’est une abstention record, propulsée par la société civile, les syndicats et les partis d’opposition.
L’opposition tunisienne appelle à un front et précise qu’elle ne reconnaîtra pas le prochain parlement né des législatives du 17 décembre et du 29 janvier qui sont l’une des dernières pierres que le président Kaïs Saïed a voulu poser dans l’édification d’un système ultra présidentialiste similaire à celui d’avant la chute de Ben Ali.
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