Le 28 septembre 2009, des militaires armés avaient violé des femmes et tué 150 personnes rassemblées dans un stade pour manifester contre la candidature du guinéen Dadis Camara. Son aide de camp et plusieurs Ong accusent l’ancien président d’avoir commandité le massacre.
L’instruction judiciaire s’est achevée en 2017 avec le renvoi des prévenus devant un tribunal. Dadis est attendu au procès avec 10 autres accusés dont colonel Abdoulaye Chérif Diaby, ministre de la Santé au moment des faits.
L’ancien exilé au Burkina Faso qui est en lieu sûr en Guinée clame son innocence.
Pouvoirs-Magazine