Enseignante en lettres Modernes et spécialiste en Communication.
Certifiée en Gestion de Projet, lauréate du prix Sembène Ousmane du roman africain, à Dakar en 2019, la nouvelle présidente de l’Association des écrivains de Côte d’Ivoire (Aeci) est auteure de 08 livres parus
Le voile de doux leurre/ Au-delà des tourments /Un ange dans le ciel/ La femme sans bouche/ D’amour et d’amitié / Le cultivateur et la princesse piment/ l’Araignée et le Chien / le Flamboyant
A quel besoin répond de briguer l’Aeci ?
Pendant 22 années, 4 hommes ont dirigé l’Aeci. Pourquoi pas une femme cette fois-ci ?
Qu’est-ce qui n’a pas été fait pour qu’on compte sur vous pour le réaliser?
Beaucoup a été fait, il faut le reconnaître et l’apprécier. Mais l’histoire est faite de façon à ce que les Hommes (grand h) viennent et partent. Mais l’institution elle reste. C’est la continuité. Il y a donc toujours quelque chose à faire.
De quand vous vient cette ambition ?
Elle a été suscitée par les hommes en tout cas. (rire.)
Que seront les écrivains devenus après votre mandat ?
Après ou durant ? Ils seront forts des bases qu’ils auront établies durant le mandat.
Un seul mandat vous suffit-il ?
Hummmm. Je ferai le temps nécessaire.
Quelle définition donnez-vous du livre?
Un moyen pour changer le monde. Il y a tout dans les livres.
Lequel de vos livres vous ressemble le plus ?
Il y a un peu de moi dans chacun d’eux. Sinon, le second, je répondrais.
Pouvoirs-Magazine