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Buravan a tiré sa révérence.

On lui doit « Garagaza’», une version de « Malaika » aussi, puis le titre « Tiku Tiku », chanson d’amour délivrée à la fois en Anglais, en Français, swahili langue de son Pays le Rwanda.
« Ni Yesu » et bien d’autres hits Soul, slow de prédilection, sa musique support de ses textes amoureux rendus par une voix fluette: Yvan Buravan vient de tirer sa révérence en Inde des suites d’un cancer du pancréas, à 27 ans seulement célébré en avril dernier.
A 14 ans, il avait fait des essais et avait compris qu’il pouvait se lancer surtout qu’il bénéficiait du soutien de Burabyo Michael, son harmoniciste de père, féru de Blues.
Fils aîné d’une fratrie de 6, il avait suivi des études en communication avant de se consacrer à la chanson qui avait guidé ses pas au Femua 12, à Anoumanbo, en Belgique en 2018 année où il est fait prix Découvertes Rfi.
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